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35 idées pour rendre votre turf plus complet

Les turfistes qui aspirent à la perfection sont perdus d’avance.

Moi-même, je perds tous les jours. Et je n’aspire pas à devenir parfait dans mes paris et mes décisions.

J’ai perdu hier ? Pas de problème.

Cela ne signifie pas qu’aujourd’hui je ne gagnerai pas quatre fois ce que j’ai perdu hier.

Et je sais que chaque jour, en suivant méticuleusement mes paris, mes propres décision, je fais d’immenses progrès.

Et sur le long terme, ça n’a pas de prix.

Je vous ai préparé ici quelques idées pour vous améliorer, chaque jour, dans vos analyses, votre approche du jeu et votre psychologie.

Je n’ai pas toutes les réponses, loin de là et cette liste est loin d’être complète.

Mais peut-être que certaines idées peuvent vous parler et vous faire avancer un peu plus chaque jour à travers le chemin tortueux du turf.

N’hésitez pas à télécharger gratuitement le livret “3 Bases Solides aux Courses” dans lequel je vous dévoile 3 stratégies simples à appliquer pour vos jeux.

Réservé uniquement à mes contacts privés :


Idée n°1 : L’art du probable

Les courses hippiques ne sont rien d’autre que l’art du probable.

Tout est incertain. Tout n’est que jugement humain.

Les chevaux sont des animaux menés et entraînés par des hommes.

Cela fait un sacré paquet d’incertitudes au tableau non ?

Un turfiste sérieux doit savoir se frayer un chemin parmi toutes les incertitudes autour d’une course.

Utilisez votre jugement avec bon sens et vous ferez un pas énorme vers la rentabilité.

Idée n°2 : La paresse de la moyenne

Alors là, je vais m’attirer les foudres de certains lecteurs…

J’ai pourtant été moi-même ce joueur. Pendant plusieurs mois…

Mais si on regarde en face le milieu des turfistes, on voit que le turfiste moyen fait de mauvais paris.

Il ne prend le temps de savoir pourquoi les chevaux ont gagné ou perdu.

Ils ne prennent pas le temps de savoir si leur pari vaut vraiment le coup d’être joué ou pas.

Bien sûr, certains ne se reconnaissent pas là-dedans et tant mieux.

Si vous voulez faire le papier, prenez ce temps.

Démarquez-vous de l’immense moyenne trop pressée de jouer.

Idée n°3 : Le juste équilibre

Vous perdez non pas à cause de quelque chose ou de quelqu’un mais à cause de votre mauvais jugement.

Les courses sont un jeu d’équilibre entre 10 facteurs principaux :

  • L’élevage
  • La vitesse de l’animal
  • Le poids porté ou la distance rendue
  • La valeur
  • L’engagement
  • La forme
  • La régularité
  • l’entraîneur
  • Le jockey/driver
  • la cote

L’équilibre de ces principaux facteurs détermine les chances d’un cheval à gagner la course.

Idée n°4 : Votre meilleure alliée

Avec la patience, vos résultats seront d’abord graduels puis explosifs !

Sans doute la meilleure qualité que vous puissiez cultiver dans votre vie de joueur (et dans la vie tout court d’ailleurs…) :

La patience.

Si vous voulez vraiment gagner, il vous faudra lutter contre le principal défaut commun à tous les êtres humains : la précipitation.

Pour gagner, vous devez développer votre patience à un niveau que la plupart ne peuvent pas atteindre.

Elle sera votre meilleure alliée pour gagner, mais surtout pour vous sauver de la ruine…

Idée n°5 : Une condition indispensable pour prendre du plaisir aux paris hippiques

Si vous avez empoché de bons gains dans une journée de courses, prenez 50% des gains et dépensez-les. Ou mettez-les sur un compte à part comme une épargne pour vous faire plaisir plus tard.

Vous devez voir des bénéfices immédiats à parier.

Je sais… ça peut paraître contradictoire avec la base n°4.

Pourtant, votre cerveau cherche avant tout le plaisir immédiat et pas dans cinq ans.

Faîtes vous plaisir donc. Nous ne sommes pas des surhommes, ni vous ni moi.

Ne rentrez pas dans le cercle vicieux de re-miser tout ce que vous avez gagné juste avant.

Vous avez plus de chances de tout perdre que de gagner plus…

Idée n°6 : Votre pire ennemi

Vous pensez peut-être que votre pire est le hasard ou les aléas des courses.

Ou pire encore… le milieu des professionnels qui se foutent de vous et de vos sous…

Détrompez-vous.

Votre pire ennemi, c’est votre cupidité.

C’est elle qui ruine l’immense majorité des parieurs.

Et c’est contre elle que vous devez lutter chaque jour.

Idée n°7 : Un critère peu étudié

L’élevage et les lignées sont un facteur essentiel pour choisir un bon cheval.

Si le cheval a des prédispositions génétiques au sprint par exemple, il serait judicieux de le surveiller quand il court sur de très courtes distances.

Peu de turfistes font cet effort d’étudier le sang. Profitez-en…

Idée n°8: Le super finisseur

Un cheval qui sait progresser de façon spectaculaire dans les 200 derniers mètres peut faire très mal.

Ce sont des chevaux qu’il faut absolument avoir en tête au moment de faire votre choix.

Surveillez-les…

Idée n°9 : Battre le handicap

Que ce soit au trot (rendement de distance ou position derrière l’autostart) ou au plat (variation des poids et position dans les stalles), vous devez savoir si un cheval peut rendre son handicap de départ.

C’est là votre objectif principal.

Idée n°10 : Le surpoids

Dans les courses de plat, peu de chevaux peuvent faire face à une augmentation de poids spectaculaire.

Même chose pour les courses de trot avec le rendement de distance.

À moins que les chevaux descendent considérablement de catégorie, peu de trotteurs peuvent rendre 50 mètres et peu de galopeurs peuvent gagner avec une augmentation du poids de plus de 2,5 kg.

Idée n°11 : La cote de méfiance

Si vous faîtes votre papier correctement et que votre cheval a une cote entre 10 et 20/1, c’est une bonne chose.

Les parieurs sont méfiants, ils savent que ce cheval est dangereux, mais lui préfère des favoris plus sécurisants.

Ne doutez pas de votre analyse. Peu importe l’arrivée, vous prendrez beaucoup de valeur en misant sur ce cheval.

Idée n°12 : Le cheval qui rentre

Vous trouverez toujours des contre-exemples à ce qui est dit ici.

Mais de manière générale et si vous pensez “long terme”, abstenez-vous de miser le moindre euro sur les chevaux qui font une rentrée de plus de 45 jours.

Il est rare que ces chevaux gagnent dès leur rentrée.

Idée n°13 : Les musiques qui jouent de la flûte

Ne pariez pas systématiquement sur les chevaux qui ont fini 1er, 2ᵉ ou 3ᵉ à leur dernière course.

Ces chevaux sont souvent très prisés des turfistes et perdent en valeur.

Regardez les chevaux qui n’ont pas fini placé, mais pas loin du gagnant.

En plat, les chevaux qui ont fini à 4 ou 5 longueurs ou moins.

En trot, les chevaux qui ont une réduction kilométrique meilleure que celui du gagnant ou maximum à 1,5 seconde plus élevée que le gagnant.

En obstacle, les chevaux qui ont fini à moins de 14 longueurs du gagnant.

Ce chevaux, sans être placés, montrent leur bonne forme.

Idée n°14 : Le pilote qui fait la différence

Attention au cheval qui a été monté par un apprenti ou un jockey “moyen”(ou son entraîneur dans le trot) lors de sa dernière course.

S’il est monté par un pilote (un top jockey) dans la course du jour, c’est signe d’une grande confiance de son entourage. La course est visée.

Idée n°15 : L’entraîneur qui gagne plus que les autres… mais qui ne rapporte rien…

Même chose : de manière générale, faîtes confiance aux entraîneurs qui savent gagner des courses.

Attention, ce ne sont pas forcément ceux qui gagnent le plus de courses.

Mais ceux qui savent préparer leurs chevaux pour prendre le plus d’argent possible et mettre leurs chevaux dans les meilleures dispositions pour gagner.

Ces entraîneurs ont des taux de réussite bien supérieurs aux autres.

Mais ces entraîneurs sont très suivis. Et leur cote est souvent assez basse.

À vous de savoir si ce coup-là votre mise vaut le coup d’être posée…

Idée n°16 : Faîtes ce que 99% des turfistes ne font pas

Prenez un simple cahier et un stylo.

Notez vos impressions, les faits, vos pensées immédiatement après la course.

En travaillant comme ça, vous ferez un bon en avant absolument considérable.

Ne sous-estimez pas le pouvoir des notes.

Idée n°17 : Les mauvais nageurs

Ne pariez jamais sur un cheval lorsque le terrain est boueux, collant ou très lourd.

À moins que le cheval est prouvé son aptitude (en regardant ses performances) à ce genre de terrain, ne jouez pas ces courses.

Idée n°18 : Votre défi intellectuel

Considérez chaque course analysée comme votre nouvelle énigme à résoudre.

Ne vous laissez pas influencer par les commentaires, les avis, les synthèses, les pronostics, les cotes.

Faîtes votre propre avis rien qu’à vous.

Chaque course est un nouveau défi qu’il faut reprendre de zéro.

Idée n°19 : Les bons cycles de forme

Soyez à l’affût des bons cycles de forme de chaque cheval.

Certains chevaux performent dès leur rentrée, d’autres sont à 100% à leur 4ᵉ course après leur rentrée.

Scrutez les performances passées pour voir comment le cheval évolue dans ses cycles de forme.

Le site Geny.com est parfait pour faire cet exercice.

Idée n°20 : La meilleure mise.

Ne misez pas une somme au hasard.

Établissez un capital de départ à l’année.

Misez un certain pourcentage de ce capital sur chaque cheval.

Ce pourcentage doit être assez faible pour vous permettre de vous sentir en sécurité pendant les périodes d’écarts.

C’est la meilleure approche que vous puissiez trouver.

Idée n°21 : Pénalisez vous-même ces chevaux.

Cet exercice peut être difficile.

Mais lorsque vous étudiez une course de handicap (dans les courses de plat) n’hésitez pas à pénaliser vous-même les chevaux qui partent dans les stalles extérieures (selon la physionomie de la course, distance et hippodrome)

Vous pouvez, si vous le souhaitez, ajouter entre un demi kilo jusqu’à trois kilos en fonction de la stalle dans laquelle le cheval partira, de l’état du terrain et de la distance à parcourir.

Attention, il n’y a rien de mathématique là-dedans.

Mais ça vous permettra d’avoir une vue un peu plus claire sur les chances de chacun.

Idée n°22 : La fausse mauvaise course

Ne rayez pas un cheval qui n’a pas performé lors de sa dernière course ou de son avant-dernière course.

Regardez attentivement pourquoi il n’a pas fait sa course.

Il a pu être gêné, ne pas avoir eu le passage pour finir, avoir été relégué dernier à cause des relais, etc.

Un cheval qui fini 9ᵉ à cause d’un facteur autre que sa forme, peut être un excellent pari lors de sa prochaine course.

La masse des turfistes aura tendance à le délaisser, ce qui est une énorme erreur.

Idée n°23 : Apprenez de vos erreurs.

Chat échaudé craint l’eau froide…

Sachez pourquoi vous avez échoué. Pourquoi votre pari n’est pas rentré.

Repérez vos faiblesses et corrigez-les rapidement.

Idée n°24 : Le paramètre oublié

Sans une bonne gestion de votre capital et de vos émotions, vous ne pourrez jamais vous en sortir aux courses.

Gardez confiance en vous et en votre approche, sans jamais parier à l’émotion.

Votre aversion à la perte peut détruire votre capital en quelques minutes seulement.

Idée n°25 : La question du double pari

Décidez dès maintenant si vous jouez un seul cheval gagnant/placé

… ou deux chevaux en simple gagnant.

La première approche est plus sécuritaire que la seconde qui sans aucun doute vous rapportera plus d’argent que la première.

Il n’y a pas de réponse unique. Cela dépendra avant tout de votre psychologie de joueur.

Idée n°26 : Votre état d’esprit peut tout changer

Si vous ne pensez pas comme un gagnant, vous ne gagnerez jamais.

Ayez une approche psychologique positive de vos paris.

Considérez vos pertes comme des obstacles à franchir et des difficultés à surmonter, non pas comme de la malchance.

Évitez de vous plaindre ou de gémir dès que vous faîtes face à une ou plusieurs pertes.

Tout le monde perd.

Ce qui compte, c’est de se relever et de continuer à avancer malgré les pertes.

Idée n°27 : Faîtes le choix de la régularité

Si vous avez des difficultés à séparer deux chevaux lors de votre choix, il peut être judicieux de faire le choix de la régularité.

La réussite d’un cheval en placé est un bon indice de la régularité des chevaux.

À condition bien sûr que vous ayez fait le papier avant…

Idée n°28 : A chaque pari son capital

Il est indispensable, pour avoir du recul sur chacune de vos prises de position, que vous ayez un capital différent et un bilan différent selon votre type de pari (jeu simple, couplé, tiercé, etc.)

Ne mélangez pas tout. Vous y verrez bien plus clair dans votre rentabilité.

Idée n°29 : Respectez votre carburant

Votre carburant, c’est votre argent.

Ne le brûlez pas sur des paris émotionnels, sur des chevaux sans aucune chance, sur des paris à faible chance de réussite.

Respectez le moindre euro dans votre poche.

Idée n°30 : La vision long terme

Les gagnants d’un jour ou d’une semaine ne comptent pas.

Ce qui compte, c’est de gagner sur un an et plus.

De constater les bénéfices faits sur 12 mois par rapport à votre capital de départ.

Donc pas de fanfaronnade dès que vous avez gagné quatre jours de suite ou de désespoir dès qu’une semaine est perdante.

L’essentiel n’est pas là.

Idée n°31 : Votre point de rupture

Chaque parieur a son propre point de rupture.

Le point de rupture, c’est le montant maximum que chaque parieur peut mettre.

Attention ce point de rupture est psychologique.

Des sommes engagées trop grosses pour vous peuvent vous faire perdre pied et tout sens critique.

Et tant que vous n’avez pas testé vous-même votre point de rupture, vous ne saurez pas jusqu’à combien vous pouvez miser.

Idée n°32 : L’art de la spéculation

Un trader de renom a dit un jour :

Je suis convaincu de perdre inévitablement lorsque j’essaye d’obtenir un revenu sûr à faible rendement

La sécurité oui.

Mais trop de prudence vous perdra.

Pensez toujours à spéculer un minimum.

Idée n°33 : Le jeu simple VS le jeu à combinaison

Le jeu simple est de plus en plus difficile à rentabiliser.

Beaucoup d’informations sont à disposition du grand public.

Si vous voulez prendre le maximum de valeur possible, orientez-vous vers les couplés, les tiercés ou les reports.

Avec ces jeux, aussi difficiles soient-ils, vous pourrez miser petit et gagner gros.

Attention : ce sont des stratégies à part entière avec des approches complètement différentes du jeu simple.

Ne confondez pas tout.

Idée n°34 : La base du pari mutuel

Si vous remarquez que tous les experts sont d’accord sur un cheval, oubliez-le.

Les parieurs suivront cette tendance et le cheval n’aura plus aucun intérêt financier pour vous.

Si vous voyez la même chose que tout le monde, passez la course.

Idée n°35 : Votre choix, votre décision, votre responsabilité

Rappelez-vous toujours que celui qui a décidé de miser c’est vous.

C’est votre choix et votre décision, pas celui d’un autre.

Vous êtes de responsable de vos échecs, mais aussi de vos réussites.

Ne cherchez pas une ombre qui vous a empêché de réussir.

Cette liste est loin d’être complète.

Chacun pourra ajouter ou retirer des bases plus ou moins importantes.

N’hésitez pas à télécharger gratuitement le livret “3 Bases Solides aux Courses” dans lequel je vous dévoile 3 stratégies simples à appliquer pour vos jeux.

Réservé uniquement à mes contacts privés :